Puis
je ne vois plus que des masses. Ce corps massif à mes côtés, ces parois abruptes, qui dans la nuit, remplacent les immeubles. Elles aspirent le peu d’air
qui parvient à circuler dans la voie. Et font surgir des bribes de notre vie commune. D’autres vies, réduites à l’essence. Aux doutes. Pourquoi j’y pense
maintenant ? Alors que Céline n’est même pas encore enterrée...
De
sa réserve elle n’est jamais
sortie. Livrée à ses questions…Aux frontières qui ne disent pas leur nom…Sauf un désarroi. Seule
réponse pour la ville censurée, traversée de messages…De rapports Premium, de cartes Gold, tant qu’elles
marchent encore… Ecran total
contre les coups. Il en faut pour échapper aux canons là-bas, aux meurtres ici. Ces choses à la mode…Nourries d’éloges
mâtinées d’ivresses…Et de fusions putain…De fusions pas très claires. De la finesse pour y
croire sans pour autant devenir
une annonce. Un pauvre fac-similé…