lundi 10 septembre 2012

119-

Je me dis alors que l’horreur est comme la publicité. Un truc imbattable. Totalement insurmontable. Qu’il est inutile de lutter. Je suis rattrapé par le sentiment négatif qui me rongeait depuis la trahison de mes yeux...Et par toutes ces images de Céline détruite. D’abord dans un désordre imaginaire. Celui dans lequel j’étais au début. Superposition toxique d’images imprimées dans l’esprit, et de la réalité. De son corps à elle, tel qu’il m’a été rendu...Et d’autres corps inventés. Pour survivre j’imagine. Tenir le plus loin possible de moi ce réel insensé.