lundi 17 septembre 2012

120-

Je me sens si faible et impuissant devant ce que je vois. Vide un instant de toute émotion. Je pourrais même parler avec la vieille. Lui demander des renseignements. Comme si je n’étais pas concerné au plus profond de mon être par ce déballage funeste. Alors dans ma tête défilent en accéléré des psaumes, remontant des profondeurs de l’enfance.   Toi qui m’as tant fait voir de détresses et de malheurs...Tu vas à nouveau me laisser vivre...Me laisser vivre. Dans cet abîme.