vendredi 16 novembre 2012

125-


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Alors je me souviens avoir divagué. Rejoins les artères commerçantes, m’être noyé dans cette frénésie. Mais n’y avoir trouvé aucun réconfort. Face au mur des démarches à accomplir, des larmes à affronter, érigé depuis des heures...Et ce froid, bon dieu. Ce froid qui m’envahit, à mesure que je m’enfonce dans un quartier que je connais à peine. Délaissant l’agitation pour ce calme qui déborde d’immeubles gris. Ils commencent à s’éclairer lentement. Fenêtre après fenêtre. Quelques bruits familiers finissent par m’atteindre. Je finis même par entendre des voix, et comble de la cruauté, quelques rires, qui s’échappent d’un étage.