Cet homme derrière sa fenêtre, dont la vie, comme
viscères au dehors, était répandue sur un trottoir. Je lui demande enfin
pourquoi...La raison de ce désordre, chaos extérieur. Alors que lui, Karl,
semble si calme. La soûlerie peut aider dans ces cas-là. Elle peut faire d’une
infirmité un impossible transitoire. Là, ce soir, en me remémorant ces
instants, je l’entends, distinctement, me répondre d’une voix irréelle.
Pourtant, bien sûr, il ne parlait pas. Mais les mots qu’il écrivait avaient la
saveur d’un son. De sa voix d’avant j’imagine.