mardi 28 mai 2013

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Ces mots déposés la nuit, dans le silence lézardé, ne font que courir après des ressentis. Les images assemblées, comme banales pièces d’un puzzle, ne reconstituent pas la présence de Céline...Par ajouts fragmentés, elle ne fait qu’apparaître dans un décor de plus en plus sombre. On a ça en horreur...De comprendre. Comme un péril qui veut ma peau...J’ai lu ça quelque part. La santé qui m’attire vers le fond, les crises, les regards gênés puis agressifs...Le meurtre, le meurtre...La guerre, la guerre...La guerre que je vois dans les yeux de Karl...Qui ne l’a jamais quitté. Le meurtre qu’il m’a aidé à concevoir...Ce morceau de papier que j’ai porté sur moi jusqu’à ce qu’il devienne poussière.