lundi 20 août 2012

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En ce début d’après-midi, le quartier était très actif. Les gens vont travailler ou font du shopping. Alors que j’ai été choisi, parmi tous ces individus, par un rayon de soleil accusateur. L’impression que mes vêtements sentent le brûlé. C’est désolant. La ville n’est plus qu’un lieu de mémoire dans lequel je suis condamné à errer.

Un territoire rempli de signes, de formes, de lieux familiers. Comme le musée des beaux-arts, le port de commerce...Autant d’endroits qui viennent de s’éteindre avec Céline.