Ce corps, son existence, réduits en bouillie. Le
monde réel, peu à peu cet univers se délite. Sous les lumières crues de la
salle d’autopsie. Des lumières si vives qu’elles sont dotées d’un pouvoir. Celui
d’irradier votre vie. Quelques secondes, je me balade presque heureux dans un
espace parallèle qui semble si reposant. Un mécanisme de défense qui s’emballe
et se retourne contre moi.