mercredi 25 septembre 2013

192-


Celui qui me parle, passager toxique, itinérance et larmes impossibles. Les yeux secs de Karl, éteints comme des ampoules mortes. Grillées par les scènes convulsives.
 
C’est assez d’être ainsi énervé. De s'abîmer contre des tristesses et dans ce puits de lumière,  d’attendre la fosse. La puissante insulte. Ecrire sa propre histoire quel risque étrange...L’éclat d’un cierge bien droit, comme une offense foudroyante. A brandir dans une nuit épaisse. A couper la tempête, des incrustations ou la mémoire des reliefs. Matrice de l’esprit nouveau...Plus rien à foutre du temps. Comme teinté dans la masse. Un putain de bloc ciment : cogne, cogne ! Tes mains vont saigner. Pour Céline...Son malheur est partout, à ne pas suivre. Seulement à pleurer aux seuils composites. Un ton coupé des yeux revenus, les tiens que tu perds peu  à peu.
 
Et des squares,  au béton bientôt coloré, il sera revenant. Pièce unique, alumineuse aux cheveux. il y  a ce partage de l’usure.  Les inventaires qui tuent et ce pigment d’alcool. Tu deviens une pierre liquide.