Celui qui rend à Karl sa parole...Que j’entends
alors murmurer des prières, des éclats de sa guerre.
Dès
l’évasion acquise, encore
tradition rêvée. Et puis des
prisons, des prisons. Ces tentatives d’y voir un message, alors que c’est niet, peanuts. Alors
que c’est un cercle fermé. Une irruption lointaine et dévoreuse de première fois. Ou Prophète à deux balles. La ruine et c’est
tout. Comme le désarroi, sur les bords positifs. Alors que c’est
non. La partie des eaux disparues, en une seconde sous des fixes.
Là
disparaît privation du vrai
Pour
un destin fabriqué
Consternant
d’impureté
Mais
le pur franchement...
Comme
une langue refondue dans ces
fondations relevées. De nuits fluctuantes à des comptoirs inaugurés. On tisse on emporte on disparaît.
De
la lumière dans le sillage
Et
c’est tout
La
casse est la tombe
Toujours
reconstruire. Plus dense plus
large. Et la lumière, la lumière
y tombe. De ses mots imprégnés, difficiles,
d’une vie d’errance entourée. Il faut sortir par l’exil incertain. Déposer dans ces murs une vie sans témoins.