jeudi 26 septembre 2013

193-

Celui qui rend à Karl sa parole...Que j’entends alors murmurer des prières, des éclats de sa guerre.
 
Dès l’évasion acquise, encore tradition rêvée. Et puis des prisons, des prisons. Ces tentatives d’y voir un message, alors que c’est niet, peanuts.  Alors que c’est un cercle fermé. Une irruption  lointaine et dévoreuse  de première fois. Ou Prophète à deux balles. La ruine et c’est tout. Comme le désarroi, sur les bords positifs. Alors que c’est non. La partie des eaux disparues, en une seconde sous des fixes.
 
Là disparaît privation du vrai
Consternant d’impureté
Mais le pur franchement...
 
Comme une langue refondue dans ces fondations relevées. De nuits fluctuantes à des comptoirs inaugurés. On tisse on emporte on disparaît.
 
De la lumière dans le sillage
Et c’est tout
La casse est la tombe
 
Toujours reconstruire. Plus dense plus large. Et la lumière, la lumière y tombe. De ses mots imprégnés, difficiles, d’une vie  d’errance entourée. Il faut sortir par l’exil incertain. Déposer dans ces murs une vie sans témoins.